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Exposition Virtuelle d'Art'Ria : du virus aux Vénus.

Dernière mise à jour : 12 oct. 2021

L'accrochage virtuel ayant été réalisé le 13 novembre 2020 pour l'inauguration du 14, voici l'exposition complétée des créations arrivées au tout dernier moment durant "l'inauguration".

Pour l'exposition complète, comme pour l'inauguration, qui a fait des centaines de vues, il a été décidé de ne pas adopter de tri thématique mais l'ordre alphabétique.

Seule "censure" une oeuvre par auteur dans la mosaïque de l'inauguration, ci-dessous, mais d'autres productions des unes, des uns et des autres, ainsi que les commentaires des artistes qui en avaient fournis ont progressivement été ajoutés dans l'exposition qui suit.


Plusieurs de ces artistes ont fait l'objet en 2021 d'un bref développement dans le post : https://www.audierneculture.com/post/art-ria-des-artistes-du-bout-du-monde





Avec, par ordre alphabétique des auteurs:

Alayse Elsa/Baussan Didier/Bornibus Yvain/Bouvier Claude/Brusq Hélène/Deliveyne Annick/Druillenec Isabeau/Duchemin Jean-Noël/Dussin Yves/Fouquet Vincent/Froger Lili/Girard Sylvain/ Horlo Raymond/Lepetit Sophie/ Lesgourgues Sylvie/Masson Yvon-Marie/Mathis Mikado/Mesas Mickaël/Montliau François/Ollivier-Henry Anne-Marie/Ollivier-Henry Yvon/Pignan Alain/PouD Bleuenn/Pouzet Catherine/Quillivic Raymond-Louis/Robic Jean François/Robin Alex/ Robin Edith/Robin Nathalie/Romac Jean-Paul/Roux Béatrice/Roy Christophe/Rudigoz Anouk/Serc Patrick/Secretin Angèle/Soazic/Tristant Frédérique/Victor Avert

et un texte de Françoise Sylvestre (texte intégral sur : https://www.audierneculture.com/post/inauguration-expo-artria ).


Et, au-delà de l'exposition inaugurale présentée ci-dessus, un zoom par ordre alphabétique sur les artistes ayant accompagné leurs créations de commentaires ou ayant donné une déclinaison de leur production pour l'exposition :



Elsa Alayse

Voici le corps comme un contenant, réceptacle de viscères et d'émotions, écrin d'organes et de souvenirs dont l'enveloppe de chair nous conterait son histoire.






Didier Baussan


Définition de cher chieur: se dit d’un savant exerçant un peu trop de sens critique à l’endroit de collègues dépourvus de sens moral. Le cher chieur

n’est pas apprécié car il ne mâche pas ses mots et dénonce certaines collusions embarrassantes. Pour certains on leur coupe les moyens, pour d’autres

seulement les bras.


Le boîtographe









Yvain Bornibus

gblanche@orange.fr










Claude Bouvier construit depuis 20 ans un mur d'actualités.


J'y inscris des mots, des slogans, des personnages, des objets, des symboles, des caricatures, des signes que je puise chaque jour dans mon environnement : livres, journaux, télévision, internet...

Ce mur est un regard, mon regard sur le monde.




"Détrumpez-vous ceci n'est pas un corona-vit russe"


250 x 125 cm, octobre 2020











Hélène Brusq


D’emblée, je me détournai du virus et pensai tout à la fois à la planète et à la déesse Vénus : amour, lumière, beauté. Pour l’honorer, pourquoi ne pas la couronner de végétation printanière tendre, de roses écloses ou en bourgeons, d’un printemps à venir porteur d’espoir dans la nuit éclairée ? Les astrologues annoncent une ère nouvelle, porteuse de pensées apaisées...Ainsi jaillit : « A l’Aube de l’Ère du Verseau, Vénus Couronnée » .

Mes outils, toujours les mêmes : peinture, découpage, collage, et un brin de sculpture autour du papier de soie.



Annick Perennec Deliveyne

L'objectif de mes peintures à l'aiguille, brodées à la main avec des fils de soie sur une toile de lin, est de reproduire les sujets avec la plus grande précision possible en ayant recours à la méthode du fil unique grâce au point dit : passé empiétant. J'aime surtout que mes réalisations, alliance du passé et du présent, suscitent une curiosité, une émotion, un rêve et nous rappellent que les travaux d'aiguilles sont intemporels.

Les Sangliers Tachetés (51,7 x 68,9 cm), le pin d'Alep, la Pie bleue de l'Himalaya.


Isabeau Druillennec

Un peu de magie, d'arts et d'idéalisme donneront de quoi réveiller les quelques couleurs de notre automne suspendu.

Voici deux peintures à l'huile, la première intitulée Utopia Dystopia, peinte ces derniers jours en réponse à l'ombre qui se déverse sur nos libertés. Utopia est fille et mère de l'enchantement. Sans elle, le monde est froid, sombre, dominé de montagnes. De sa lumière germe la poésie, de sa force, la révolte. Les oiseaux libres en fredonnent les chants, et tapissent leurs cages de slogans. On s'abreuve encore de ses perles et de ses mots, les pieds dans son contraire – Dystopia -, notre tête sous sa rosée. Joie et espoirs sont ses ardoises, sur lesquelles elles invitent oiseaux et artistes à bâtir les esquisses de nos futurs. Restons utopistes, déchaînons nos libertés. Utopia Dystopia, 100cmx70cm.

Le deuxième s'appelle Idyllium, peinte pendant le premier confinement. Il est de même veine que le premier, entre méditation, solitude et contemplation.



Jean Noël Duchemin


Si vous passez sur la place d'Audierne et regardez au-dessus des Halles, derrière la nouvelle baie vitrée d'Art'Ria, peut-être allez-vous m'apercevoir !



" Lire les corps sans interdits ! "








Yves Dussin

Il faut s'écailler les désirs ...


Ex-Voto à St Chinian







Vincent Fouquet / Above Chaos

"Séléné, Vénus des lunes, s'avance dans la nuit diurne, accompagnée de ses fidèles pélicans, compagnons ailés et zélés. Dans ce coin de cosmos, chaotique et féroce, un vortex crache des lunes depuis la nuit des temps. Il en gobe aussi de temps en temps. Des papillons s'éparpillent, le temps oscille, l'espace vibre à l'approche de la Terre. Planète en désordre, sans consensus, que des fous gèrent ; alerte rouge, virus... que faire ? Nous l’ignorons mais Séléné sait." - Anouk Rudigoz




Lili Froger

Juxtaposés aux tesselles de marbre taillées une à une, aux galets fendus en deux, ces fortunes de mer acquièrent force, douceur et vie.

La contrainte dure de n’acheter aucune matière première, d’être constamment dépendante des heures passées sur les plages implique dans chaque mosaïque l’abandon définitif des matériaux collectés, que l’on ne retrouve jamais à l’identique.


Vénus à la plage

septembre/octobre 2020 77x30 cm

Tesselles de marbre / déchets ostréicoles (élastiques) / maërl / nacre /manche de couteau / pièce de monnaie / verre, faïence, métal, fibrociment polis par la mer /collage papier.




Sylvain Girard

Photographe


Phalaénopsis I

Phalaénopsis II


Tirages argentiques sur papier baryté

15 x 15 cm



Raymond Horlo

Que peut-on faire avec 500 signes ? Le monde rétrécit. Si un jour ceci cessait, c’est ce que sous-entend ironiquement Beckett. Il n’y a pas de si. Le réel est sans double. Clément Rosset. On ne peut pas faire comme si. Œdipe est bien parti de Corinthe. On ne ré-écrit pas l’histoire. L’horreur est bien réelle. Avec la mort tout cesse. Il n’y a pas d’autre monde, idéal ou de rechange. Qui refuse de voir la réalité et se réfugie dans de tels mondes, ( sectes, religions, complotisme... ) refuse de faire face à la vie dans sa complexité.

C’est le cas de l’immense majorité des gens sur cette planète...

Raymond Horlo. 05.11.2020




Lepetit Sophie

Pendant le confinement est apparue l'Amabié.

Une Amabié est apparue dans la province de Higo (préfecture de Kumamoto) selon la légende, vers le milieu du quatrième mois, en l'an Kōka 3 (mi-mai 1846) à l'époque d'Edo. Un objet brillant avait été repéré dans la mer, pendant plusieurs nuits. Le responsable de la ville s'est rendu sur la côte pour enquêter et a vu l'Amabié.

Selon le croquis réalisé par ce fonctionnaire, elle avait des cheveux longs, une bouche comme le bec d'un oiseau, était couverte d'écailles jusqu'au cou et avait trois pattes.

S'adressant au fonctionnaire, elle s'est identifiée comme une Amabié et lui a dit qu'elle vivait en pleine mer.

Elle a ensuite livré une prophétie: "Il y aura une bonne récolte pendant six ans à partir de l'année en cours; si une maladie se propage, montrez une image de moi à ceux qui tombent malades et ils seront guéris."

Ensuite, elle est retournée à la mer."

J'ai moi même créé une figure guérisseuse que je décline à l'infini sur des supports variés : galets, cartes postales anciennes, vieux livres...



Sylvie Lesgourgues 


Il s’agit d’une installation de trois dessins :

« Couronne à Vénus »

« Corot est venu »

« Cornes à Minus »





Masson Yvon-Marie


Inextricable et tentaculaire, cette image est pour moi le reflet du contexte actuel.


" HIDE (cacher, dépouille...) "

100 x 69 cm.

Hyde Park en janvier 2015




Arkores



Acrylique aquarelle collage

50 x 70 cm









Montliau François

Le poids retient le vide (Strette de Paul CELAN). Mes sculptures ne représentent rien, ne démontrent rien, ne revendiquent rien, elles sont là pour elles-mêmes. Objets de méditation. Pour éviter toutes scories de romantisme, c’est un travail fait sous contraintes, à la manière de l’Oulipo, ici je suis parti de la citation de Paul Célan, chaque plaque doit tenir en équilibre tout en gardant un point de contact, elles retiennent ainsi le vide.

Ne penser qu’au vide

3 plaques de marbre sculptées en équilibre.

Instagram : montliaufrancois montliau.blogspot.com montliau.free.fr



Anne - Marie OLLIVIER-HENRY

Dans un premier temps, la forme de ce virus m’a amenée à ressortir des réalisations anciennes baptisées « Astre » et « Fusion ». Puis prenant le thème à la lettre j’ai consciencieusement planté ce virus, telle une belle fleur toxique, dans un monde qui bascule, habité par Corot, le nabi Sérusier et le russe Kandinsky.

Astre technique mixte 50 x 50 cm

Fusion technique mixte 50 x 50 cm

Fleur toxique acrylique sur toile 110 x 80 cm



Yvon OLLIVIER-HENRY


Je me faisais une joie de participer à cette exposition à Audierne… La seule de l’année à laquelle je pouvais participer ! Et crac… Le virus a contre-attaqué, infesté notre pays et déstabilisé la Culture.

Heureusement le virtuel existe et permet de présenter nos créations.

J’ai tout de suite pensé à la forme sphérique de ce « venin » que tout le monde a vu mais qu’en-est-il de l’intérieur ?


« SPHÉROÏDE »métal et polystyrène











Pignan Alain



voici des aquarellocollages (!)










Poud Bleuenn

Inspiré de la Vénus de Botticelli. Peint en acrylique de couleurs vives et ajout de ruban perlée, collages divers dentelle et feutres Posca afin de donner plus de force dans ma création.Autodidacte je suis une artiste par cœur. Mon art est essentiellement figuratif est ponctuée de pop. J'interprète mariage de couleurs vives qui a une place importante je les expriment riches et vibrantes appliquées de façon juxtaposer et d'une grande intensité expressive et qui ne s'attache pas à la réalité.

Je reprends les codes de motifs floraux des années 70 vu sur les papiers peints entre autres. Le visage est un prétexte à la peinture celle-ci est ma liberté le visage est un prétexte à la peinture celle-ci est ma liberté de création et d'interprétation. C'est un plaisir intense que la peinture et le dessin me procure.

Toile acrylique, collage, 75 x 115 cm. pouliquen.jeanyves29@wanadoo.fr




Pouzet Catherine

Création du Corona  1 

taille : 50 cm x 50 cm.

technique : huile sur papier Chinois

Création du Corona  2 

taille : 50 cm x 50 cm.

technique : huile sur papier Chinois

L’ascension du Corona 

taille : 150 cm x 80 cm.

technique : huile sur papier Coréen


Raymond-Louis Quillivic

Corps à Vénus

Le titre évoque la beauté de Vénus, mais nous vivons quelque chose de difficile et très dangereux dont la consonance hautement toxique, rappelle le titre (coronavirus). La beauté et la grâce sont souvent exquises, le désir tout autant, mais, il faut savoir aussi les respecter, et, juste les regarder sans franchir l’interdit pour les admirer.




Jean-François Robic

Mes dessins racontent des histoires de forêts profondes, de chamans relégués dans les grottes du paléolithique, de signes de pierre rapportés de leur profondeur… Ours, aurochs rapportés de Lascaux ou Chauvet discutent avec les restes humains des Sapiens ou de Néandertal.

Le rêve du chaman 130 x 114

Never Mort 130 x 152

Abeilles et fleurs 114 x 130


Mes techniques sont à la fois contemporaines et anciennes : l’encre de Chine et le lavis, le pochoir, pour un usage convoquant le hasard, le savoir-faire et l’expérimentation.




Edith Robin


"Corps à Vénus"  

1,20m x 2,10m




02 98 87 77 08















Alex Robin



Vénus 1, 2, 3 .

1m x 2m





   



Nathalie Robin

Pour donner forme à mon travail, je fais le choix de matériaux bruts et de techniques issues de l’industrie. Dessins, graphismes, découpes, peintures et autres effets donnent vie à mes sculptures. Pour cette expo, j’ai eu envie de représenter Vénus symbole de beauté et d’amour rendue muette par le chaos médiatique.

« No more V••US »

Sculpture en aluminium brossé, poli et vernis

645 X 500mm


Jean-Paul Romac

Vénus est associée à la beauté, à l’amour et à l’art. Le Jugement de Pâris consacre la domination du beau.

La démarche reste ambiguë, Pâris demandant aux déesses de se présenter entièrement nues ; Vénus, très séduisante, promet Hélène à Pâris ! Mélange de beauté, d’amour et probablement de sexe ! Le Jugement de Pâris est une de mes préoccupations récurrentes, entendu comme la victoire de la beauté et de l’art (merci Hubert Damisch) je présente 3 déclinaisons de Vénus :

L’Origine de Vénus (manière noire sur cuivre)

Vénus hamadryade (noyer et red cedar)

La Révélation de Vénus (bois gravé)




Béatrice Roux

Nom d'artiste: BMR


"No comment "


Facebook BM RX

page facebook BMR



Christophe Roy

Au début du confinement j’ai très vite décidé de ne plus allumer mon poste de télévision et de m’éloigner des réseaux sociaux pour prendre du recul face à cette situation anxiogène.

Je me suis intéressé de plus près au « Shodo » et à l’état d’esprit, de relaxation, de concentration que nécessite cette pratique, afin de puiser dans « mon érnergie vitale (le Ki,le Shi) » la sérénité dont j’avais besoin.

Mon travail, à l’encre, sur papiers aquarelle mais aussi sur différents types de papiers japon ou papiers de riz, est basé sur une gestuelle rapide, énergique ou posée.



Anouk Rudigoz / Rudinouk

C'était avant. Avant l'éloignement d’avec les autres, avant les masques et le gel, avant le décompte des malades et des morts. J'ai fait ce dessin avant et pourtant, maintenant, j'y lis tout ce qui nous hante : des animaux comme la chauve-souris ou le singe, la peur dans les yeux des hommes, une sphère qui est à la fois une planète, un œil et un virus. Tout ce qui semblait inconscient prend sens aujourd’hui. Alors j'ai effectué quelques retouches et je l'ai appelé "prémonition".



Secretin Angèle




Sur le thème « Corps à Venus »


Caricature 36 x 51, papier marouflé sur bois.


Dessin, peinture, collages













Patrick Serc


Françoise Sylvestre a offert un texte pour l'expo virtuelle.

"En en souriant, et comme pour le conjurer, quelques semaines à peine auparavant, nous avions, à quelques-uns qui se reconnaîtront, inventé « La danse du Corona », « Le chant du Corona »... Le moyen d’hurler notre colère devant l’inéluctable. Dans l’ignorance, et avec un brin d’insolence..."



Elle associe ce texte au travail de Patrick Serc et il est en intégralité sur :



Soazig/Soagos

Loin de mon travail habituel, qui est surtout paysager, je me suis amusée à faire ce divertissement découpé dans les "Nous deux" d'une génération précédente.


"Le corps avide de Vénus"

Collage sur toile et huile

60 x 73 cm




Tristan Frédérique

Je grime la face de nos sociétés. Je nous maquille, puisqu’il s’agit bien de portraits, à coup de nostalgies et de pertes. Une mélancolie à toute épreuve qui me tient. Je revisite l’aquarelle en reprenant les codes couleurs du naturaliste et géographe A-Ch. Lesueur et en les accommodant à d’autres supports et médiums. J’expérimente l’aquarelle brodée, l’aquarelle à l’eau de mer, l’aquarelle à l’eau de piscine, au talc, sur fond d’acrylique et/ou de peinture à l’huile, sur tissu, sur carte à gratter…


La chambre, Aquarelle sur photographie, 77,5 x 58 cm, 2020

Sur l’herbe, Aquarelle sur photographie, 81 x 58 cm, 2020



Victor Avert


"Aphrodite regarde" , 65x50 cm, acrylique, collages.


L'image de la déesse est empruntée à une fresque de Pompéi ; la démarche ici consiste à mélanger et mettre les codes en contraste.




Pour que le contexte culturel soit un peu moins morose, en attendant la réouverture des expositions, cinémas, théâtres..., quelques "poissons" de J-N. Duchemin observent depuis la nouvelle baie vitrée de la galerie d'Art'Ria, au-dessus des Halles, les passants de la place du marché d'Audierne ... ou peut-être est-ce l'inverse ? https://www.audierneculture.com/post/inauguration-expo-artriahttps://www.audierneculture.com/post/inauguration-expo-artria


Mais nous vous avions, dès l'inauguration, promis des invités, les voici !


Art'Ria tenait à accueillir, dans son exposition collective annuelle, les contributions d'élèves de CM1-CM2 de l'école Pierre Le Lec d'Audierne qui, avant le second confinement, avaient fait une sortie pédagogique vers l'Ile de Sein.

Les élèves proposent ci-dessous six représentations du bourg, tel qu'on le découvre lors de l'arrivée par le courrier, ainsi que le ressenti de chacune et chacun d'eux quant à la vie sur l'île.

En cette période complexe, leur absence de références à la pandémie offre un contre-point sensible à l'exposition du "Virus aux Vénus" ; merci à Lou, Manon, Angélique, Léo, Ambre, Maëlig, Chayane, Tristan, Nyno, Robin, Ely, Jade, Kenza, Malia, Rose, Laly, Marnie, Lisandre, Yanis, et à leur enseignante Hélène Caroff,.


J'aime l'île de Sein car elle m'inspire beaucoup de joie. Quand je suis là-bas je ressens l'envie de rester. Elle ressemble à un zoo avec beaucoup de mouettes, de goélands et de dauphins. J'aimerais y habiter car je me sens comme chez moi et j'aime la plage.


J'aime l'île de Sein car elle m'inspire beaucoup de choses, quand je suis là-bas je ressens ma tristesse. Elle ressemble à une grosse pierre. Je n'aimerais pas y habiter car je quitterais mes amies.

J'aime l'île de Sein car elle m'inspire pour dessiner car elle est jolie. Quand je suis là-bas je ressens une bonne onde, elle ressemble à un village. Je n'aimerais pas y habiter car elle est trop petite.


J'aime beaucoup l'île de Sein car elle m'inspire du bonheur. Quand je suis là-bas je ressens beaucoup de joie. Elle est comme une grosse pierre au milieu de la mer. J'aimerais y habiter car il y a plein de petites ruelles et puis c'est magnifique, ça n'est pas grand, il n'y a pas de voitures.

J'aime l'île de Sein car elle m'inspire confiance. Quand je suis là-bas je ressens de la bonne humeur, à chaque fois j'ai hâte de la visiter. J'aimerais y habiter car cette île est joyeuse et pleine de recoins.


J'aimerais aller à l'île de Sein car je pense que les plages et les côtes doivent être magnifiques.

J'aime beaucoup l'île de Sein car elle m'inspire  la vie marine. Quand je suis là-bas je ressens de la beauté car les plages sont magnifiques. Elle est comme magique avec ses belles côtes. Je n'aimerais pas y habiter car le voyage en bateau me rend malade.


J'aime l'île de Sein car elle m'inspire beaucoup de rigolade! Quand je suis là-bas je ressens de la bonne humeur. Elle ressemble à un caillou. Je n'aimerais pas y habiter car j'ai le mal de mer et là-bas il n'y a pas de supermarchés.

J'aime l'île de Sein car elle m'inspire la joie et la bonne humeur, quand je suis là-bas je ressens la nature, elle ressemble à une petite pierre. J'aimerais y habiter car il y a plein de petits chemins et la mer.


J'aime beaucoup l'île de Sein car elle m'inspire beaucoup pour dessiner. Quand je suis là-bas je ressens de l'inspiration. Elle ressemble à l'île de Batz. Je n'aimerais pas y habiter car l'hiver il y a des tempêtes.


J'aime l'île de Sein car elle m'inspire beaucoup de bonheur. Quand je suis là-bas je ressens la vie. Elle ressemble à un point sur la carte. Je n'aimerais pas y habiter car aux tempêtes elle perd peu à peu du terrain.

J'aime beaucoup l'île de Sein car elle m'inspire pour le dessin. Quand je suis là-bas je ressens de l'amour, elle ressemble à un caillou. J'aimerais y habiter car elle est calme.


J'aime l'île de Sein car elle est intéressante. Quand je suis là-bas je suis très heureuse. Je n'aimerais pas y habiter car ici j'ai mes amis et ma famille.


J'aime l'île de Sein car elle m'inspire beaucoup de tranquillité. Quand je suis là-bas je ressens la liberté. Elle ressemble à un petit caillou perdu dans l'océan.  J'aimerais y habiter car il n'y a pas de voitures.

J'aime l'île de Sein car elle m'inspire du bonheur. Quand je suis là-bas je ressens de la sérénité. Elle est comme un petit point vu d'en haut. Je n'aimerais pas y habiter car il n'y a pas de stade de foot ni de piscine...


J'aime beaucoup l'île de Sein car elle m'inspire la joie car c'est beau même si c'est petit. Quand je suis là-bas je ressens une émotion forte. J'aimerais y habiter pour voir les dauphins, c'est peut-être petit, mais génial.



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